Les enjeux liés à la démocratie et à la bonne gouvernance se posent avec acuité en Côte d’Ivoire.
En effet, après une décennie de crise politique, l’organisation des élections générales de 2010 n’a pas permis de régler définitivement le contentieux politique et apaiser les cœurs.
En 2020, la question du respect des règles de la démocratie et les droits de l’Homme est restée entière en Côte d’Ivoire.
En plus, le rétrécissement de l’espace civique et politique remet en cause certains acquis du printemps de la démocratie de 1990 (la libre expression du citoyen et des partis politiques, la liberté des médias, l’indépendance de la justice et la séparation des pouvoirs).
Responsabilité : Chargé de programmes Démocratie, droits de l’Homme et Etat de droit
- Formation et sensibilisation des parties prenantes sur la charte de la démocratie, des élections et de la bonne gouvernance
- Education civique des populations lors des élections
- Atelier de formations sur la démocratie et les droits de l’Homme
- Observation électorale
- Organisation d’émissions radios sur les principes de la démocratie et des droits de l’Homme
- Programme de renforcement de capacités et d’empowerment des jeunes candidats aux élections
- Formations des collectivités locales sur les enjeux de la démocratie et les droits de l’Homme
- Sensibilisation pour une meilleure participation des femmes au processus électoral
- Conférence en ligne sur les enjeux de la démocratie en Côte d’Ivoire
- 10.Sensibiliser et former les jeunes femmes à la citoyenneté active et responsable
- 11.Renforcer la capacité des médias pour une démocratie apaisée
- 12.Renforcer les capacités des points focaux pour une meilleure gouvernance
- 13.Renforcer les capacités des jeunes, des femmes et des leaders de partis politiques sur la notion de l’Etat de droit.
Partenaires stratégiques : Ministère des Droits de l’Homme, PNUD, Conseil National des Droits de l’Homme, Haut Commissariat des Droits de l’Homme des Nations Unies, Commission Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, la Cour Africaine des Droits de l’Homme, les fondations OSIWA, NED et les partenaires nationaux et internationaux.