
Soyons honnêtes : en Côte d’Ivoire, on aime la fête, le bon riz gras, les débats politiques… mais parfois, on flirte un peu trop avec les nerfs de la paix. À l’approche des élections de 2025, on sent déjà certains doigts qui démangent, des groupes WhatsApp qui s’échauffent, et des « influenceurs » soudainement experts en constitution.
Mais si on prenait un moment pour souffler, hein ?
Parce que la paix, ce n’est pas un luxe, c’est le minimum syndical pour qu’on puisse continuer à rire, bosser, faire nos Lives, et surtout manger en paix !
Flash info (non officiel mais très réel) :
• Les élections approchent, et les anciens réflexes veulent revenir : tensions ethniques, fake news, alliances mystérieuses et promesses qui brillent plus que les guirlandes de Noël.
• Sur le terrain, les jeunes sont divisés entre ceux qui veulent « changer le système » et ceux qui attendent que « papa décide ».
• Les rumeurs courent plus vite que le Wi-Fi dans certains quartiers, et chacun y va de sa petite analyse politique… souvent sortie tout droit de Facebook.
Mais sérieusement, la paix, c’est notre affaire à tous
La paix, ce n’est pas qu’une grande idée qu’on laisse aux politiciens ou à l’Union Africaine. Non. La paix, c’est local. C’est dans nos quartiers, nos discussions, nos partages.
• Quand tu décides de ne pas relayer une info douteuse.
• Quand tu écoutes sans insulter.
• Quand tu votes sans te battre.
• Quand tu mets ton énergie dans un projet utile au lieu de te battre pour un parti qui ne connaît même pas ton prénom.
La paix, ce n’est pas ennuyeux !
Non, la paix n’est pas réservée aux vieux sages avec des boubous blancs qui parlent lentement.
Tu veux changer les choses ? Engage-toi dans une asso, crée du contenu qui inspire, participe à des débats constructifs. Deviens cette voix calme au milieu du vacarme. Parce que dans une Côte d’Ivoire apaisée, tout le monde gagne : les élèves passent leurs examens, les mamans vendent au marché, les artistes sortent leurs albums… et toi, tu vis mieux.
On veut la paix, pas seulement pour éviter les palabres, mais pour construire quelque chose de grand ensemble. Même si tu n’es pas d’accord avec ton voisin, laisse-le respirer. Et va voter, hein !
Crise dans le secteur éducatif : un bras de fer tendu entre enseignants et gouvernement
Le climat est de plus en plus tendu entre le gouvernement et les enseignants. Depuis plusieurs semaines, ces derniers dénoncent des conditions de travail difficiles, des promesses non tenues, et réclament des primes impayées ainsi que le respect de leurs droits syndicaux.
Face à cela, le gouvernement adopte une posture ferme. Refusant de céder à la pression, il annonce des mesures disciplinaires à l’encontre des grévistes, allant jusqu’à menacer de sanctions administratives pour absence prolongée ou « abandon de poste ».
Ce climat de confrontation inquiète l’opinion publique, à l’approche des examens scolaires, et met en lumière la fragilité du dialogue social dans le secteur éducatif. Plus que jamais, il est urgent de favoriser l’écoute, le respect mutuel et la recherche de solutions durables, car l’avenir de milliers d’élèves est en jeu.
Le Club Union Africaine Côte d’Ivoire dit haut et fort : Pas de développement sans paix. Pas de paix sans respect. Pas de respect sans toi.
Restons éveillés. Parlons entre nous. Et surtout : protégeons nos enfants.
La paix là, ce n’est pas une option. C’est le carburant du pays !